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#107 : Réceptions

Résumé : Laura devient amie avec Olga, une jeune fille délaissée par les autres enfants. Il s'avère en effet qu'elle a une jambe plus courte que l'autre. Mais les Ingalls lui apprendront à se sentir comme toutes les autres petites filles malgré son handicap.

Popularité


3.78 - 9 votes

Titre VO
Town Party-Country Party

Titre VF
Réceptions

Première diffusion
30.10.1974

Première diffusion en France
26.12.1976

Diffusions

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Mardi 26.06.2018 à 10:20

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Producteur exécutif : Michaël Landon
Producteur associé : Kent McCray
Réalisateur : John Hawkins
Scénariste : Juanita Bartlett
Avec :

Tracie Savage Christy Kennedy
Michèle Christy Cassie
Maya Van Horn Helga Nordstrom
Jan Merlin Jon Nordstrom
Kim Richards Olga Nordstrom

 107 - RECEPTIONS

Générique de début.

 

En ville.

 

          A l'école il y a une fille qui s'appelle Olga Nordstrom elle n'a malheureusement aucune amie car elle a une jambe plus courte que l'autre donc elle ne peut pas s'amuser avec les autres filles de son âge.

 

Chez les Ingalls.

 

          Un jour Caroline annonce à ses filles qu'elles sont invitées à une réception chez Nelly, elles se demmandent quoi lui offrir vu qu'elles n'ont pas d'argent leur mère dit que ce n'est rien donc elles vont cueillir quelques fleurs des champs. En arrivant elles rencontrent Christie qui a confectionné une poupée en la voyant Nelly la dépose sur une table avec les fleurs de Mary et Laura.

 

Chez les Oleson.

 

          Nelly montre sa belle poupée que sa maman lui à offerte et Laura effleure la dentelle de la robe de la poupée et Nelly la pousse brutalement la dentelle est légerement décousue et madame Oleson gronde Laura disant qu'elle devrait faire plus attention aux affaires qui ne lui appartiennent pas et les envoit toutes jouer dehors.En sortant pour aller jouer Laura se rend compte qu'elle a mal à sa cheville et donc elle ne peut pas courrir et s'amuser avec les autres, elle s'assoie près de Olga, elle commence à parler ensemble.

 

Chez les Ingalls.

 

          Le soir chez les Ingalls Charles et Caroline parlent et disent que Laura et Mary pourrait elles aussi faire une réception,Laura et Mary qui écoutaient ce que leur parents disaient sortent de leur cachette et demande si elles pourraient inviter qui elles voulaient,Caroline commence à citer le nom de leurs amies mais en citant Nelly Laura était un peu réticente mais fini par accepter.

          Le lendemain Laura et Charles commencent à discuter de Olga et Laura lui dit que quand Olga est passée sur une planche de bois sa jambe était à la bonne hauteur,Charles a une idée et il va en parler au père et à la grand-mère d'Olga mais le père ne veut pas que Charles essaie de changer un peu la chaussure d'Olga. Plus tard la grand-mère d'Olga va parler à Charles et lui donner une chaussure Charles fait donc une semelle plus haute et Olga peut enfin courir et s'amuser avec les autres filles.

          C'est l'heure de la reception Olga était déjà là et fait croire que rien à changer seulement quand Nelly et Laura choisissent leurs équipes Laura choisit Olga à la grande surprise de tous et l'équipe de Laura remporte le match Nelly qui a compris la supercherie propose d'aller s'amuser à la crique Olga est bien obligée de retirer ses chaussures donc elle n'y va pas.

          Le père d'Olga passe chez les Ingalls et s'en prend à Charles mais en voyant Olga s'amuser avec toutes ses amies il se radoucit et il repart main dans la main avec Olga.

 

Générique de fin.

107-RECEPTIONS

Générique de début.

Dans la cour de l'école.

Laura Ingalls :
Et ne triche pas.
Cassie : Am stram gram... ce sera toi qui commenceras. (Elle s'arrête devant Laura que Nellie bouscule.) Ce sera d'abord Nellie.
Laura Ingalls : Elle m'a poussée ! 
Nellie Oleson : Mauvaise perdante... Je choisis Cassie.
Laura Ingalls : Moi, je prends Christie.
Nellie Oleson : Hélène ! 
Laura Ingalls : Jeanne.
Nellie Oleson : Margaret.
Laura Ingalls : Nous, on est que trois, alors vous aussi !
Nellie Oleson : Quatre, trouve-toi une quatrième. (Elle regarde Olga qui est assise sur l'escalier.) T'as qu'à choisir Olga ! 
Laura Ingalls : Non, tu sais bien qu'Olga ne peut pas s'amuser à courir. Et puis, on n'a pas besoin d'elle !  C'est moi la plus rapide de l'école, alors je courrai deux fois et on vous battra ! 
Nellie Oleson : Alors ça, c'est ce qu'on verra.
Laura Ingalls : On court jusqu'au poteau là-bas. Une, deux, trois, prêtes ? Partez.

Nellie et Laura courent jusqu'au poteau puis reviennent : l'équipe de Laura prend une légère avance, avant de gagner !

Sur le chemin du retour, Laura court devant tandis que tout derrière, Olga marche doucement. La jeune Ingalls se rend à la crique avec un bâton, et commence à marcher sur un tronc près de l'eau. Jack aboie.

Laura Ingalls : Chut Jack, chut !
Mary Ingalls : Laura, où es-tu?
Laura Ingalls : Mais pourquoi tu as besoin de crier comme ça ? Entre toi et Jack, je ne pourrais jamais le savoir.
Mary Ingalls : Savoir quoi?
Laura Ingalls : Si l'écrevisse peut couper un bâton d'un seul coup. Elle a eu peur de ta voix.
Mary Ingalls : Tu n'as pas intérêt à ce qu'elle t'attrape, ou c'est toi qu'elle coupera en deux.
Laura Ingalls : Non, tu racontes des histoires ! Elle a pas des pinces assez grandes pour me couper en deux.
Mary Ingalls : Il ne te reste pas le temps de l'savoir. Maman veut nous parler tout de suite, elle a quelque chose d'important à nous dire.
Laura Ingalls (à Jack) : Et toi, écoute-moi, si tu aboies encore, la prochaine fois je te laisserai
à la maison. Et j'blague pas.

Les deux filles partent en courant, puis arrivent chez elles. Elles entrent.

Mary Ingalls : La voilà maman ; elle était près de la crique. Oh, mais qu'est-ce que tu fais?
Caroline Ingalls : Votre père avait envie de beignets.
Laura Ingalls : Oh, j'adore ça !
Mary Ingalls : Moi aussi !
Caroline Ingalls : J'ai une bonne surprise pour vous : vous allez à une réception !
Mary Ingalls : C'est vrai?
Laura Ingalls : Toutes les deux?
Caroline Ingalls : Oui, je suis allée faire des courses aujourd'hui, et Madame Oleson vous invite demain pour l'anniversaire de Nellie.
Laura Ingalls : On est forcées d'y aller ?
Caroline Ingalls : Laura!
Laura Ingalls : Mais tu sais comment est Nellie !
Caroline Ingalls : Je sais qu'elle a eu la gentillesse de vous inviter à son anniversaire. Tu aurais peut-être préféré être la seule qu'elle n'ait pas invitée ?
Laura Ingalls : Oh non, j'aime mieux être inviter. C'est toujours ça.
Caroline Ingalls : Et ne l'oublie surtout pas quand tu lui souhaiteras un bon anniversaire…
Mary Ingalls : Mais il faut apporter un cadeau peut être. On a rien du tout à lui offrir.
Laura Ingalls : Je crois que j'ai quelque chose pour elle.
Mary Ingalls : Non maman, je sais ce que c'est.
Caroline Ingalls : Ce n’est pas nécessaire tu sais, mais vous devriez lui offrir un beau bouquet de ces ravissantes fleurs sauvages qu’il y a dans les bois.
Mary Ingalls : Oh, ça c’est une bonne idée
Caroline Ingalls : Alors, maintenant au travail ! Je veux que vos chaussures soient bien cirées et éclatantes comme…
Laura Ingalls : La surface d’un lac !
Caroline Ingalls : Comme un sourire du dimanche… (A Carrie qui, depuis le début, fait le même beignet.) Carrie, je crois que ça suffit.

Le soir, les Ingalls ont réunis à table et mangent du maïs.

Charles Ingalls : J’en pendrais bien encore un autre.
Caroline Ingalls : Laura ?
Caroline passe un plat à Laura qui le passe à son père. 
Charles Ingalls : Hum, merci  !
Laura Ingalls : Papa ? Tu te rappelles l’écrevisse que je t’ai montrée ? Celle qui vit sous un rocher dans la crique.
Charles Ingalls : Oui, j’espère que tu ne t’approches pas trop d’elle.
Laura Ingalls : Oh… non papa !
Mary Ingalls : Laura, là tu dé…
Laura Ingalls : Je m’approche jamais trop près et je fais toujours attention ! Je me demandais si elle avait la force de couper un bâton en deux
Charles Ingalls : Ça dépend de sa taille.
Laura Ingalls : Et si c’était mon doigt ? Elle pourrait couper un de mes doigts?
Charles Ingalls : Non, elle a des pinces trop petite. Mais elle te pincerait si fort que tu t’en souviendrais pendant longtemps.
Caroline Ingalls : Vous n’avez pas parlé de la réception.
Charles Ingalls : Qui donne une réception ?
Mary Ingalls : Nellie Oleson, elle nous a invitées demain à son anniversaire. Ça sera une grande journée ! 
Laura Ingalls : Ça j’en sais rien.
Mary Ingalls : Est-ce que leur maison est aussi jolie que Nellie le prétend toujours ? Pleine de tapis et de beaux meubles ? Et de grands rideaux ? D’après ce qu’ils racontent à l’école ils ont tout.
Charles Ingalls : Il y a quelque chose qu’ils n’auront jamais.
Laura Ingalls : Qu’est-ce que c’est ?
Charles Ingalls :Les bon petits dessert que maman mijote… (A Carrie) Dis-donc, tu as un appétit d’ogre ce soir, toi ! 

Dans la cour des Ingalls, se trouve un baquet d'eau où Laura fait sa toilette.

Charles Ingalls : Alors ça marche ? Savonne-toi bien derrière les oreilles, tu as sûrement dû oublier.
Laura Ingalls : Oui, d’accord.
Il entre dans la maison.
Caroline Ingalls : Où en est-elle ?
Charles Ingalls : Propre comme un sous-neuf ! 
Caroline sort. 
Caroline Ingalls : J’ai repassé ta robe et ton linge Laura. Alors ? Montre où tu en es. Les oreilles…
Laura Ingalls :
Je viens de les laver ; papa me l’a rappelé.
Caroline Ingalls : Ah, très très bien… oui… allez viens ! Tu peux te lever, attends… voilà, youps. 
Caroline sort Laura de l'eau et l’emmène dans la maison.
Charles Ingalls : Dépêche-toi un peu ou bien tu vas arriver en retard.
Caroline Ingalls : Allez, allez … vite ! 
Charles Ingalls : Chérie, viens voir ici une seconde, tu veux ?
Caroline Ingalls : Monte Laura, je reviens tout de suite !
Caroline sort rejoindre son mari.
Charles Ingalls : Une petite surprise...
Dehors, dans le baquet, se trouvent Carrie, toute habillée et Jack, que cette dernière asperge.
Caroline Ingalls : Oh non !
Charles Ingalls : De quoi tu te plains ? Elle lave le chien et sa robe en même temps comme ça.

Pendant ce temps, chez les Nordstrom.

Jon Nordstrom : J’ai bien réfléchi. J’aimerais mieux que tu restes avec nous.
Olga Nordstrom  : Il faut que j’y aille, je suis invitée. Nellie a dit qu’on mangerait des gâteaux et des sucreries, et qu’on s’amuserait.
Jon Nosdstrom : Je l’espère… mais à quoi est-ce que vous jouerez ?
Olga Nordstrom : J’en sais rien Pa.
Jon Nordstrom : A vous courir après ? Tu ne pourras pas jouer avec elles.
Olga Nordstrom : Peut-être Pa, mais si c’est ça, je les regarderai faire, comme tous les jours à l’école. Est–ce que ça va comme ça Pa ?
Jon Nordstrom: Oui, tu est très belle.
Olga Nordstrom: Grand-mère ? (Elle acquiesce) Au revoir grand mère, au revoir Pa ! 
Helga Nordstrom : Au revoir ma chérie ! 
La petite fille s'en va.
Jon Nordstrom : Bonne journée Olga... Tu disais qu’elle devait aller à l’école, alors je l’ai laissée aller à l’école.
Helga Nordstrom : Il fallait qu'elle s'instruise.
Jon Nordstrom : Tu aurais pu lui enseigner ce qu'elle devait savoir.
Helga Nordstrom : Il lui fallait voir des amies de son âge.
Jon Nosdstrom : Tu l'as déjà vu assise dans la cour de l'école sans parler à aucune fille ? Elle n'a pas d'amies à cette école. Elle serait bien mieux à rester à la maison avec nous.
Helga Nordstrom : J'ai un fils qui est un idiot
Jon Nordstrom : Et j'ai une mère qui ne veut rien écouter. A cette anniversaire, elle va essayer de faire comme tout le monde, elle va courir. Et risquer de tomber et ce sera grave.
Helga Nordstrom : Non, elle sera bien sage, elle a promis de ne pas courir.
Jon Nosdstrom : Je suis allé à l'école, mais c'est en observant les hommes que j'ai le plus appris ??? et les animaux. J'ai vu ce que les poules font à celles d'entre elles qui ont le malheur de ne pas être comme les autres, elles les tuent. c'est ignoble, elles se précipitent toutes sur elles, elles les massacrent, à coup de bec, c'est leur loi.

Près de chez les Oleson, Christie et Cassie dépassent Laura et Mary.

Filles : 
Bonjour Mary, bonjour Laura.
Laura Ingalls : Eh, une minute.
Laura se met à courir mais, elle est vite rattrapée par Mary, qui lui fait signe de marcher.
Nels Oleson : Bonjour mesdemoiselles.
Mary Ingalls : Bonjour Monsieur Oleson.
Nels Oleson : Allez-y, entrez, entrez ! Ah, vous êtes toutes les deux aussi jolies que ce bouquet de fleurs.
Mary Ingalls : Merci monsieur Oleson ! 
Nels Oleson : Allez-y, entrez ! Suivez les autres, c'est par là !
Mary Ingalls : Oui, merci !

Dans le magasin.

Christie Kennedy : Allez, venez, allez-y, entrez.
Les filles entrent dans le salon, lorsque l'horloge sonne, Nellie les rejoint.
Mary Ingalls (lui tendant le bouquet de fleurs) : Tiens, et bon anniversaire Nellie !
Laura Ingalls : C'est de notre part à toutes les deux !
Christie Kennedy (tendant à Nellie une poupée de chiffon) : Et ça, ça vient de moi et Cassie. Je l'ai faite moi-même, mais elle n'a toujours pas de nom.
Nellie Oleson : Allez, venez jouer !
Christie Kennedy : Elle l’a à peine regardée ! 
Mary Ingalls : Ho, mais c'est rien du tout. Elle est toute existée, t'inquiète pas. Allez viens, on va s'amuser avec eux.
Laura Ingalls (apercevant un bateau) : Oh, mais c'est l'arche de Noé !
Willie Oleson : Non, elle est pas à Noé, elle est à moi.
Laura Ingalls : Je parlais de Noé de la Bible.
Willie Oleson (désignant des animaux) : Y'en a deux de chaque sorte. Deux, sauf pour les girafes à cause de Nellie qu'a caché le mâle. Elle sait que c'est mon animal favoris !
Nellie Oleson : J'ai rien caché du tout, c'est pas vrai !
Willie Oleson : Si c'est vrai !
Harriet Oleson : Ha, ha, ha, ha, Willie ! N'ennuie surtout pas ta soeur.
Nellie Oleson : Et puis, on s'en fiche de ton arche de toute manière.
Harriet Oleson : Ça n'a aucun sens de vous disputer pour cette arche quand vous avez tant de jouets pour vous amuser.
Nellie Oleson : Ils joueront pas avec mes jouets.
Willie Oleson :
Et y toucheront pas à mon vélocipède.
Harriet Oleson : Allons, voyons les enfants. Oh ! Nellie, montre-leur ton cadeau d'anniversaire, hein, ta belle poupée !
Nellie Oleson : D'accord, mais je vous défends de la toucher. Quand elle est sur le dos, elle est endormie et puis dès qu'elle est debout, elle est réveillée. Sa robe est en vraie soie et elle a des vrais jupons avec de vraies dentelles.
La main de Laura s'avance vers le beau tissu. Au moment où elle le touche, Nellie retire vivement sa poupée, et la dentelle se déchire. Elle pousse Laura.
Nellie Oleson : J'ai dit de ne pas y touche ! Tu l'as déchirée pour m'embêter.
Laura Ingalls : Je te promets que je ne l'ai pas fait exprès.
Nellie Oleson : Tu es jalouse, tu sais que tu n'auras jamais d'aussi jolie et tu m'en veux d'en avoir une. J'aurais pas dû t'inviter, ça m'apprendra ! 
Harriet Oleson : Ho, Nellie ne parle pas de cette façon !
Laura Ingalls :
Je suis désolée madame, c'est seulement un accident. Ma mère pourra l'arranger ; elle sait très bien coudre.
Harriet Oleson : Non, non, non, non, ce ne sera pas nécessaire. Je saurai très bien la réparer. Oh, ce n'est rien, ne t'inquiète pas ma petite Nellie ! (A Laura) Tu devrais essayer d'être moins brutale avec les affaires qui appartiennent aux autres.
Laura Ingalls : Oui madame.
Harriet Oleson : Je crois qu'il serait plus sage que vous alliez plutôt vous amuser dans le jardin. Ici, il y a trop de choses que vous pourriez abîmer.
Willie Oleson : Oh, vite venez, venez ...on va jouer à chat.
Les enfants sortent.
Mary Ingalls (A Laura qui boite) : Qu'est-ce que tu as ?
Laura Ingalls : C'est presque rien, ça ira.
Mary part jouer avec les autres tandis que Olga s'approche de Laura.
Olga Nordstrom :  Tu t'es tordu la cheville?
Laura Ingalls : Oui quand elle m'a poussée tout à l'heure.
Olga Nordstrom : On ferait mieux d'aller sur l'escalier, tu crois pas ? Attends, il faudrait peut-être dire à Monsieur Oleson de prévenir le Docteur Baker ?
Laura Ingalls : Non, c'est pas si grave que ça... Tu sais... j'ai failli te demander quelque chose, mais je me suis arrêtée. Maman dit que c'est mal élevé d'être curieuse.
Olga Nordstrom : Si c'est une question sur ma jambe, vas-y !
Laura Ingalls : Bah, oui, c'est justement ça. Y'a longtemps que tu boites de cette manière?
Olga Nordstrom : Je suis née comme ça.
Laura Ingalls : Mais peut-être que si tu veux venir avec moi, on pourrait marcher doucement et aller voir les grenouilles de l'étang. Et puis on pourrait en attraper
Olga Nordstrom :
Oh oui, on pourrait essayer ! Allez, viens. 


Olga est de retour chez elle. Sa grand-mère et son père sont dans la cour.
 
Helga Nordstrom : Olga ! Alors, comment ça s'est passé ?
Olga Nordstrom :
Très très bien grand-mère. C'était très réussi. Ils ont une grande maison avec des rideaux et plein de jolies choses. Et une grande horloge, haute comme papa.
Helga Nordstrom : Qu'est-ce qu'on vous a donné à manger ?
Olga Nordstrom : Oh, y'avait un peu de tout : des gâteaux, des biscuits et aussi des bonbons au citron. J'ai fait comme tu m'as dit, j'ai été polie et je n'ai rien emporté.
Jon Nordstrom :
Et tu t'es amusée ? Avec tous les enfants ?
Olga Nordstrom :
Oh, oui papa. Nellie a des poupées de toutes les sortes et son petit frère m'a prêté tous ses jouets d'animaux. Et on s'est amusés, on s'est amusés ! On a bien rigolé.
Jon Nordstrom :
Est-ce qu'il y en a qui se sont moqués de toi à cause de ta jambe ?
Olga Nordstrom : Non papa.
Jon Nordstrom : Mais tu ne t'es pas amusée. Tu es restée dans ton coin à regarder faire les autres, dis-moi la vérité.
Olga Nordstrom : A l'intérieur, c'est vrai, oui. Mais dehors, j'ai joué avec une fille.
Jon Nosdstrom : Avec une fille, seulement une.
Olga Nordstrom : Une fille très gentille, Papa. Laura Ingalls. Elle s'est tordue la cheville ; on a parlé toutes les deux.
Jon Nordstrom: Je t'avais dit de rester là. Tu aurais dû rester à la maison avec grand-mère et avec moi. 
Olga Nordstrom : Mais je suis très contente Papa ! Je me suis fais une amie !
Jon Nordstrom : Une seule amie.


Le soir, chez les Ingalls, Caroline et Charles son éssis à table. Les filles sont couchées.

Caroline Ingalls : Mary dit que c'était autant la faute de Nellie que de celle de Laura. Et il paraît que le robe peut être recousue en deux minutes.
Charles Ingalls : Il faudra beaucoup plus longtemps pour que le cheville de Laura soit guérie. Elle devra manquer l'école deux ou trois jours.
Caroline Ingalls : Ça lui a fait de la peine d'apprendre ça, alors j'ai promis de lui acheter un petit ruban chez les Oleson.
Charles Ingalls : Laura attrape souvent ce genre de blessures, mais elle se remet vite.
Caroline Ingalls : Tu serais d'accord pour que les filles reçoivent leurs amies à leur tour ?
Charles Ingalls : Entièrement d'accord. Oui.
Caroline Ingalls : Bien ,alors elles...

Un bruit surprend leur attention.

Charles Ingalls : Y'a des souris dans cette maison... Allez, montrez-vous un peu là-haut.
Les filles apparaissent en-haut de l'échelle.
Caroline Ingalls: Que-ce que vous faites là à une heure pareille ?
Mary Ingalls :
On écoutait.
Laura Ingalls : Alors on peut inviter des amies sans fêter l'anniversaire de quelqu'un ?
Charles Ingalls : C'est la meilleure raison de recevoir des gens, sans aucune raison, juste pour avoir ses amis avec soi.
Mary Ingalls : Et on a le droit d'inviter qui on veut, et seulement qui on veut ?
Caroline Ingalls : Oui, bien sûr, c'est votre réception. Oh, je sais qui vous voudriez inviter : Christie et Cassie, votre nouvelle amie, Olga, et Nellie.
Laura Ingalls : 
Nellie ?
Caroline Ingalls : C'est une politesse qu'il faut rendre.
Laura Ingalls :
Je suppose que tu le sais mieux que nous.
Mary Ingalls : Lundi, j'irai leur demander.
Caroline Ingalls : C'est ça. Retournez dormir, et dépêchez-vous ! 
Mary et Laura Ingalls: Bonne nuit Maman, bonne nuit Papa !
Caroline Ingalls  :
Bonsoir !
Charles Ingalls : Bonne nuit mes chéries.

Dans la chambre de Laura et Mary.

Mary Ingalls : J'arrive pas à le croire. Notre réception à toute les deux, ça j'arrive pas à le croire. Et on pourra inviter toutes les personnes qu'on voudra.
Laura Ingalls : Oui !! Tu sais ce qui serait formidable ? C'est que Nellie dise non...

Sur le chemin menant à l'école, Mary discute avec Olga.
 
Mary Ingalls : Y'aura Cassie qui viendra et Christie et Sudie. Et toi aussi j'espère que tu viendras, Olga.
Olga Nordstrom : Ça dépendra de mon père.
Mary Ingalls : Mais tu dois réussir à le convaincre. Laura tient spécialement à ce que tu viennes.
Olga Nordstrom : Je suis allée chez Nellie l'autre jour.
Mary Ingalls : Oh, j'oubliais ! Nellie viendra aussi.
Olga Nordstrom : C'est bien.
Mary Ingalls : Ho, ce n'est pas ce que dit Laura. Elle a peur que Nellie embête les autres
Olga Nordstrom : Non, je veux dire que c'est gentil de l'avoir invitée. Et de toutes manières, ça lui fera du bien, pauvre Nellie.
Mary Ingalls : Pauvres, les oleson? C'est les plus riches de la ville !
Olga Nordstrom :
Nellie est pauvre, elle n'a aucune joie de vivre intérieure.
Mary Ingalls : Dis donc, c'est curieux ce que tu viens de dire.
Olga Nordstrom : Ma grand mère dit toujours qu'on lit à l'intérieur d'une personne seulement en voyant son visage.
Mary Ingalls : Ho, oui? Tu crois ? Je n'avais jamais pensé à Nellie de cette manière, avant ça. Qu'on puisse l'appeler pauvre. Ça me fait de la peine pour elle, enfin... presque.

Le soir, Mary arrive en courant chez elle.

Mary Ingalls : Bonsoir Papa !
Charles Ingalls : Bonsoir Mary.
Mary Ingalls : Tout le monde a dit oui  !
Laura Ingalls :
T'as entendu Papa ? Tout le monde a dit oui !
Charles Ingalls : Oui, ça j'ai entendu. Mais à quelle question ?
Laura Ingalls : À notre invitation ! Mary les a invitées à notre réception ! 
Charles Ingalls : Ah, c'est vrai ! Y'a une réception ici, j'avais complètement oublié.
Laura Ingalls :
Tu te fiches de moi encore... Pourquoi est-ce que Pattie fait tomber les fers que tu lui mets.
Charles Ingalls : Elle les rejette. Je t'ai déjà dit que sa jambe avant droite était plus courte. Alors il faut que je lui pose un fer plus épais. Et tant qu'il ne sera pas à la bonne longueur, elle ne l'acceptera pas.
Laura Ingalls : J'ai encore une autre question à te poser.
Charles Ingalls : Je t'écoute, vas-y.
Laura Ingalls :
 Ça va faire pas mal de temps que je voulais te la poser et maintenant que tu parles de Pattie... Qu'est-ce qui peut faire boiter ?
Charles Ingalls : Un accident, le plus souvent.
Laura Ingalls : Non, ce n'est pas ce que je voulais dire, je pensé aux gens qui sont nés comme ça et à Olga, elle a toujours boité et dit que c'est de naissance.
 

Charles Ingalls : Ça te semble injuste ?
Laura Ingalls :
Oh, oui alors ! C'est très injuste.
Charles Ingalls :
C'est un problème qui nous dépasse. Je ne trouverai une réponse pour aucun de nous. Certaines personnes viennent au monde comme ça, et je sais pas pourquoi et je crois que personne ne le sait. Mais je sais que beaucoup de ces personnes semblent... semblent posséder quelque chose de plus qu'une personne normal.
Laura Ingalls :
Elles sont plus intuitives ?
Charles Ingalls :
Très souvent oui.
Laura Ingalls :
J'ai remarqué qu'Olga l'était beaucoup.
Charles Ingalls :
Et d'après ce que tu dis sur elle, elle a bon cœur surtout.
Laura Ingalls :
Et le cœur, c'est beaucoup plus important que le reste dans la vie.
Charles Ingalls : Beaucoup plus important. Tu penses très souvent à Olga en ce moment
Laura Ingalls :
Elle est si gentille, Papa. C'est tellement dommage qu'elle ait une jambe plus courte... Je me rappelle, l'autre jeudi, on revenait et on marchait près du moulin ; elle a marché sur une planche et ça l'a rendue comme les autres.
Charles Ingalls :
Elle a fait quoi ?
Laura Ingalls :
Il y avait une planche épaisse comme ça. A cause de ça, sa jambe était à la bonne longueur.
Charles Ingalls :
Elle a fait ça sur toute la planche ?
Laura Ingalls :
Bien sûr ! Et en marchant dessus avec sa jambe courte tout ce temps là, elle était comme les autres. S'il y avait plein de planches un peu partout, elle serait capable de se déplacer comme les autres filles.
Charles Ingalls :
C'est vrai, tu as raison... Rentre à la maison et soigne ta cheville !
Laura Ingalls :
Oui Pa !

Tandis que Monsieur Nordstrom travaille dans son jardin, Olga et sa grand-mère sortent de la maison, au moment où Charles arrive.

Charles Ingalls : Bonjour Olga.
Olga Nordstrom :
Oh, c'est monsieur Ingalls, Grand-mère.
Charles Ingalls : Madame Nordstrom. Je suis Charles Ingalls, on est presque voisins.
Helga Nordstrom :
Monsieur Ingalls, Olga nous a dit tant de bien de votre Laura
Charles Ingalls :
Ma femme est impatiente de vous connaître, vous et votre fils, et elle veut voir Olga. Je crois que votre fils est en plein travail, Madame, pourtant, je voudrais lui parler si vous le permettez.
Helga Nordstrom :
Oui, bien sûr, oui. (A Olga) Tu veux bien rentrer ça, s'il te plaît ? (A Charles) Si vous voulez me suivre... Jon, voici Monsieur Ingalls. Il a quelque chose à te dire.
Charles Ingalls :
Monsieur Nordstrom, ma... ma fille Laura est devenue très amie avec votre petite Olga et c'est d'Olga que je viens vous parler. Ça va vous paraître très curieux, mais nous avons un beau cheval chez nous .Et à moins qu'on lui mette un fer de la bonne épaisseur, il se met à boiter bas. Il lui faut un fer plus épais que les autres pour bien marcher et ça m'a donné une idée pour Olga. Je voudrais vous demander la permission de travailler sur une de ses chaussures.
Jon Nordstrom :
Vous avez un miracle dans votre poche ?
Charles Ingalls :
Non, non. Je vous ai dit que c'était curieux, mais je crois qu'avec une chaussure...
Jon Nordstrom : Olga est née avec une jambe plus courte que l'autre. Nous acceptons ce malheur et elle aussi.
Charles Ingalls :
Il y a un proverbe dans ce pays qui dit : "Aide toi, le ciel t'aidera".
Jon Nordstrom :
Je suis assez grand pour m'occuper d'Olga. Je n'ai besoin de personne.
Charles Ingalls :
Monsieur Nordstrom, votre fille reste toujours à l'écart sans jamais s'amuser. Elle semble avoir bon cœur, ce qui est heureux pour elle. Je voudrais arranger, avec votre permission, une chaussure lui appartenant et ensuite, elle pourra aussi s'amuser.
Jon Nordstrom :
Je ne vous ai rien demandé. Qu'est-ce que vous faites ici ? Alors, vous allez sortir de ma propriété.
Charles Ingalls :
Je ne vois pas quel mal il y a d'offrir une chance à Olga.
Jon Nordstrom :
Au revoir.
Charles Ingalls
(en repartant) : A bientôt j'espère madame Nordstrom.

Caroline et Charles sont en train de scier du bois, près de la crique.

Caroline Ingalls :
Tu crois que tu réussirais à fabriquer une chaussure spéciale pour Olga ?
Charles Ingalls : Oh, j'en sais rien. Ça ne pourrait pas être pire en tout cas. Pourquoi est-ce qu'il ne veut pas ? Il ne me reste plus qu'à oublier tout ça... (Apercevant les deux visiteuses qui s'approchent.) Madame Nordstrom. (Elles arrivent à leur hauteur.) Madame Nordstrom, je vous présente ma femme Caroline.
Helga Nordstrom :
Bonjour Madame.
Caroline Ingalls :
Enchantée Madame.
Charles Ingalls :
Madame Nordstrom et la petite Olga
Olga Nordstrom :
Bonjour.
Caroline Ingalls :
Bonjour Olga.
Helga Nordstrom :
Je vous dérange peut-être. Est-ce que vous avez le temps de m'écouter ?
Charles Ingalls :
Bien sûr, oui.
Caroline Ingalls :
Olga ? Tu viens avec moi, jusqu'à notre maison. Tu verras Laura.
Olga Nordstrom :
Oh, oui Madame.
Helga Nordstrom :
Monsieur Ingalls, mon fils est loin d'être ce que vous croyez. Il aime beaucoup notre petite Olga, il a toujours eu peur pour elle a cause de son infirmité. Et ça s'est encore aggravé à la mort de sa femme. Il veut seulement protéger Olga. Et il refusait même de la laisser aller à l'école.
Charles Ingalls :
Votre fils est quelqu'un qui n'aime pas beaucoup qu'on l'aide, Madame Nordstrom, mais je crois que je commence à la comprendre.
Helga Nordstrom :
Et il aimerait bâtir un mur tout autour d'Olga, et la garder à l'abri de tout. Mais il fait une grave erreur parce qu'il ne lui restera personne, après... une fois que nous serons au Ciel.
Charles Ingalls :
Il sait que vous êtes là ?
Helga Nordstrom :
Non, je le lui dirai plus tard.
Charles ouvre un paquet que lui a tendu Madame Nordstrom. Il en sort une chaussure.
Helga Nordstrom : Vous arrangerez une chaussure pour Olga ?
Charles Ingalls :
J'essaierai.

La scène suivante se déroule à l'intérieur de la ferme. Charles essaie des bouts de bois sous le pied d'Olga pour connaître la bonne hauteur.

Charles Ingalls :
ça te suffit ?
Olga Nordstrom :
Peut-être bien un peu encore.
Charles Ingalls :
D'accord... Comme ça ?
Olga Nordstrom :
Oui, c'est mieux !
Charles Ingalls :
Tu en es sûre... (Hochement de tête d'Olga) Voilà la bonne hauteur, il ne reste plus qu'à l'assembler.

Sur l'image qui suit, on voit Charles dans la grange, en train de travailler la chaussure.

Madame Nordstrom est assise dans le jardin et tresse les cheveux de sa petite-fille. Son fils s'approche.

Jon Nordstrom :
Y'a pas d'école aujourd'hui, alors tu vas aider un peu ta grand-mère.
Olga Nordstrom :
On m'a encore invitée Pa.
Helga Nordstrom :
Elle est invitée à une petite fête chez les Ingalls. Sa nouvelle amie a invité Olga.
Jon Nordstrom :
Il est pas encore midi.
Olga Nordstrom :
Oui...
Helga Nordstrom :
Oui, son amie lui a demandé d'y aller tôt et de l'aider à préparer la fête. Voilà, vas-y ma chérie !
Olga Nordstrom :
Au revoir grand-mère, au revoir Pa.

Chez les Ingalls, Charles essaie la chaussure à Olga.

Charles Ingalls :
Essaie de marcher maintenant. Vas-y, essaye.
Laura Ingalls : Regardez, c'est merveilleux ! Tu te tiens toute droite.
Charles Ingalls :
Essaie d'avancer un peu plus vite.
Olga avance un peu plus vite puis tombe dans les bras de Charles en pleurant de joie.
Laura Ingalls : Allez, viens t'habituer à marcher ! Attends que les autres soient là ! Elles ne vont pas vouloir le croire. C'est un miracle, ça oui alors, c'est un miracle.

Dans la cour, Laura aperçoit ses amies qui arrivent. Elle rentre dans la maison toute excitée.

Laura Ingalls :
Elles arrivent ! Elles sont toutes là.
Caroline Ingalls :
Elles sont juste à l'heure.
Charles Ingalls :
Bon, eh bien, je crois que je vais vous laisser avec vos invitées.
Caroline Ingalls :
Grand lâche !
Charles Ingalls :
Ah, oui je me défile, ça, héhé ! Allez Mary, viens les accueillir !
Laura Ingalls
(à Olga) : Quand elles arriveront, tu resteras assise où tu es. J'ai une idée pour leur faire une surprise terrible.
Olga Nordstrom :
Oui.

Charles est dehors avec sa fille aînée pour accueillir leurs invitées.

Charles Ingalls :
Bonjour les filles.
Christie Kennedy :
Où est Laura?
Nellie s'approche de Charles et fait une révérence.
Charles Ingalls :
Nellie. Elle est dedans. Allez, entrez !
Mary Ingalls :
Venez !
Charles Ingalls :
Et amusez-vous bien.
Elles entrent.
Rose-Marie :
Bonjour Laura.
Nellie Oleson (faisant une révérence) : Bonjour Madame Ingalls !
Toutes :
Bonjour madame Ingalls !
Laura Ingalls :
Je t'avais dis que c'était pas habillé Nellie.
Nellie Oleson :
C'est maman qui me force à m'habiller, même pour aller à la campagne. Où est ta chambre ?
Laura Ingalls :
Mary et moi, on dort là-haut.
Mary Ingalls :
Vous voulez la voir ? Venez !
Nellie Oleson :
Vous n'avez pas une chambre chacune ?
Mary Ingalls :
Tout le monde n'est pas comme toi.
Nellie Oleson :
C'est comme si vous étiez dans un grenier.
Christie Kennedy :
Moi, j'aimerais bien dormir dans un grenier.
Mary Ingalls :
Tu as demandé à ta mère ?
Christie Kennedy :
C'est pas la peine. Y'a pas de grenier chez nous.
Une fois toutes les filles en train de monter, Laura s'approche d'Olga.
Laura Ingalls : Olga, tu vas attendre que tout le monde soit là-haut et alors tu sortiras. Tu te rappelles l'endroit que je t'ai montré ?
Olga Nordstrom :
Oui.
Laura Ingalls :
Tu iras t'y asseoir, et tu attendras deux minutes qu'on te rejoigne. Alors, j'essaierai de te faire jouer avec les autres, et quand ton tour arrivera, tu feras comme si de rien n' était. Elles vont avoir une sacrée surprise.
Olga Nordstrom :
Oui.

Puis, Laura rejoint les autres là-haut.

Cassie
(saisissant le parfum de mélisse) : Sens, comme ça sent bon.
Rose-Marie :
Je connais pas ça.
Nellie Oleson :
Où sont tes poupées Laura ?
Laura Ingalls :
Les poupées, j'en ai horreur, je préfère la crique.
Christie Kennedy :
Je sais où c'est ! On est passées tout près en venant ici.
Nellie Oleson :
Vous dormez dans le même lit toi, et Mary ?
Laura Ingalls :
Oui.
Mary Ingalls :
Oh, c'est plus drôle.
Nellie Oleson :
Moi, j'ai un lit rien que pour moi et une chambre rien que pour moi.
Mary Ingalls :
Oui, on sait.
Laura Ingalls :
C'est idiot de rester enfermées quand il y a du soleil. Si on allait dehors plutôt?
Mary Ingalls :
Oh oui ! Viens Nellie et vous aussi, venez.

Les filles se trouvent dans la cour de la ferme.
Mary Ingalls :
A quoi est-ce qu'on joue ?
Laura Ingalls :
Pourquoi pas au base-ball ?
Toutes les filles :
Oui !
Nellie Oleson :
C'est un jeu de garçon...
Toutes les filles :
Mais non.... ça fait rien.... allez !
Nellie Oleson :
Bon, on y joue.
Laura Ingalls :
On va prendre les sceaux pour servir de base. Allez, venez vite là-bas ! Venez ! Je choisis une équipe, et Nellie choisit l'autre.
Nellie Oleson :
Comme je suis l'invitée, c'est à moi de commencer. Je choisis Mary.
Laura Ingalls :
Alors, je choisis Olga.
Nellie Oleson :
Tu l'as choisie pour avoir une excuse si tu perds.
Laura Ingalls :
Oh mais non ! Je compte bien gagner.
Nellie Oleson :
Je choisis Cassie.
Laura Ingalls :
Je prends Christie.
Nellie Oleson :
Rose-Marie.
Laura Ingalls :
Hélène. Alors on est quatre de chaque côté. C'est toi qui a choisi la première, alors on commence. Le batteur se tiendra là.
Mary Ingalls :
Allez, venez.
Laura Ingalls :
C'est d'ici qu'on renverra la balle. Comme on est seulement quatre de chaque côté, il faudra tourner souvent. Olga, à toi de commencer.
Rose-Marie :
Allez, vas-y Mary et vise bien !
Christie Kennedy :
Allez, vas-y Olga ! Tu réussiras, applique-toi.

Toutes les filles encouragent Olga sauf Nellie lorsqu'elle se met à courir, après avoir frappé la balle.

Christie Kennedy :
Tu as battu Nellie. Qu'est-ce qui s'est passé ?
Olga Nordstrom :
C'est Monsieur Ingalls. (Montrant sa chaussure) Il a fait ça pour moi
Cassie :
C'est formidable Olga. J'avais encore jamais vu ça. Tu cours plus vite que nous maintenant.
Olga Nordstrom :
Et Laura a voulu vous faire la surprise à vous toutes.
Christie Kennedy :
Pour une surprise, c'est réussi.
Rose-Marie :
Regarde ! ça surprend, non ?
Cassie :
Elle a surtout surpris Nellie.
Nellie Oleson :
Alors, vous allez continuer à jouer ou vous allez rester à bavarder comme ça ?
Les filles ne l'écoutent et continuent à parler.
Olga Nordstrom :
Et elle est solide. Regardez un peu comme ça tient.
Nellie Oleson :
Alors, vite, venez !
Laura Ingalls :
Oui ! Allez, On doit finir la partie. Christie, à toi de renvoyer.

La partie continue pendant un bon moment, qui est finalement rempotée par l'équipe de Laura et d'Olga.

Rose-Marie : Bon, à quoi est-ce qu'on pourrait jouer maintenant ?
Christie Kennedy :
Pourquoi pas à la marelle ?
Mary Ingalls :
Ho non, c'est pas drôle.
Rose-Marie :
On pourrait faire la course.
Christie Kennedy :
Et même des relais !
Olga Nordstrom :
Oh oui.
Laura Ingalls :
On vient d'en faire un jeu d'équipe. On pourrait jouer à chat perché.
Nellie Oleson :
Non, tout à l'heure. Oh ! je sais. Retirons nos chaussures et allons patauger dans la crique.
Laura Ingalls :
Moi, ça ne me dit rien.
Nellie Oleson :
Ce sera amusant.
Laura Ingalls :
Non, ça n'a rien d'amusant.
Nellie Oleson :
Tu as dit que tu aimais ça tout à l'heure, et que tu allais t'y amuser tout les jours.
Christie Kennedy :
La dernière arrivée a perdu. Allez !
Toutes s'en vont, sauf Laura et Olga.
Laura Ingalls :
Je resterai ici avec toi Olga.
Olga Nordstrom :
Non, c'est pas la peine. Va avec elles et baigne-toi, je vais vous attendre.
Laura Ingalls :
Mais j'y vais tous les jours là-bas. Et, j'en ai pas du tout envie aujourd'hui.
Olga Nordstrom : Non, vas-y rejoins les autres. Je resterai seule ; ça m'est égal. Et puis, je m'entraînerai à marcher.

Tandis que Laura part rejoindre ses amies, Olga s'amuse à courir dans la cour.
Au bord de l'eau sont entassées toutes les bottines des filles qui s'éclaboussent les unes, mles autres.


Nellie Oleson : Attention, à mes cheveux. Non ! Non ! Arrêtez !

Laura ôte ses chaussures à son tour, et va toutes les rejoindre, avant de s'éloigner dans un coin, où se trouve la fameuse écrevisse.

Laura Ingalls : Tu sais, ça m'est égal que tu patauges dans la crique Nellie. Tant que tu ne t'approches pas de ce petit coin là.
Nellie Oleson :
Pourquoi j'irais pas si j'en ai envie ?
Laura Ingalls :
Parce que tout ce coin là, c'est un de mes endroits secrets. Mais puisque tu es une gentille fille, tu as le droit de voir ce qu'il y a. Approche-toi et regarde bien là. Non, tu es encore trop loin, avance-toi, aller avance-toi. Alors ? Tu vois quelque chose ou tu es trop loin ? (L'écrevisse sort subitement d'entre deux rochers.) Attention Nellie ! Attention, elle te court après ! Va-t-en vite, par là. Vite, dépêche-toi, elle te rattrape !
En voyant l'écrevisse, Nellie court et tombe dans l'eau, elle en ressort avec une algue sur la tête. Toutes les filles éclatent de rire.
Laura Ingalls : Allez, on rentre goûter maintenant !

Pendant ce temps, chez les Nordstrom, Jon fouille dans tous ses meubles.

Jon Nordstrom :
Je savais que ce n'était pas normal.
Helga Nordstrom :
Tu dois vraiment te conduire de cette manière ?
Jon Nordstrom :
Quand tu agis contre moi, oui. Olga a deux paires de chaussures, elle en porte une paire. Qu'est-ce que tu as fait de l'autre ? Je suis sûr que tu l'as apportée à Ingalls.
Helga Nordstrom :
Oui ! Oui, c'est exact.

Aussitôt, Monsieur Nordstrom part de chez lui et se rend dans la grange des Ingalls, où Charles travaille.

Jon Nordstrom :
Ingalls, je vous avais interdit de vous en mêler.
Charles Ingalls :
Ouais, je le sais très bien.
Jon se précipite sur Charles qui réussit, tant bien que mal, à lui immobiliser la tête.Monsieur Nordstrom aperçoit alors sa fille courir et jouer avec toutes les autres enfants. Cette dernière voit son père et lui court dans les bras.
Olga Nordstrom : Tu m'as vue courir Papa ?
Jon Nordstrom :
Oh, oui. Je t'ai vue courir.
Olga Nordstrom :
Et tu sais, je m'amuse beaucoup, et avec toutes les filles !

Puis, elle retourne s'amuser avec les filles.

Plus tard, toutes les filles, Monsieur Nordstrom et la famille Ingalls sont réunis dans la cour.

Christie Kennedy :
Et c'était vraiment très réussi Madame. Et je vous remercie beaucoup.
Caroline Ingalls :
Merci Christie. Tu sais que tu peux venir quand tu veux.
Charles Ingalls :
Bon, est-ce que vous voulez que je vous ramène ou non ?
Cassie :
Non merci, on peut encore marcher.
Nellie Oleson :
Oh, mais je voudrais dire un mot. Cette mare d'eau est dangereuse Monsieur Ingalls. Il y a une bête grosse comme ça. Elle m'aurait coupé un doigt très facilement. (Elle fait une révérence.) Merci.
Caroline Ingalls :
Au revoir Nellie.
Carrie Ingalls :
Au revoir Nellie.
Charles Ingalls :
Je me demande qui a donné à Nellie l'idée qu'elle aurait pu avoir un doigt coupé...
Laura Ingalls :
Tu ne crois pas que je devrais aller raccompagner un peu nos invitées ?
Charles Ingalls :
C'est une bonne idée ça. Et bon retour !
Christie Kennedy :
Au revoir !
Cassie :
Au revoir et merci encore.
Olga Nordstrom :
Est-ce que je peux aller avec elles Papa ? J'ai le droit ?
Puis, suite à un signe de tête de son père, elle rejoint les autres.
Jon Nordstrom : Ma mère a raison quand elle dit que son fils est un idiot.
Charles Ingalls :
Non, je ne crois pas.

 
 Générique de fin.

 

Town Party, Country Party

 

In the courtyard of the school.

Laura Ingalls: And do not cheat.
Cassie: Am stram gram ... it will be you who commenceras. (She stops in front of Laura pushes Nellie.) This will first Nellie.
Laura Ingalls: She pushed me!
Nellie Oleson: Bad loser ... I chose Cassie.
Laura Ingalls: I'm Christie.
Nellie Oleson: Helen!
Laura Ingalls: Jeanne.
Nellie Oleson: Margaret.
Laura Ingalls: We, we are three, then you too!
Nellie Oleson: Four, find yourself a fourth. (She looks Olga who is sitting on the stairs.) You have to choose Olga!
Laura Ingalls: No, you know that Olga can not be fun to run. And you do not need it! I'm the fastest of the school, then I will run twice and beat you!
Nellie Oleson: So that's what we see.
Laura Ingalls: On short post up there. One, two, three, ready? Leave.

Nellie and Laura run to post back then: Team Laura takes a slight lead before winning!

On the way back, Laura short while before everything behind, Olga walks slowly. The young Ingalls went to the creek with a stick, and starts walking on a log near the water. Jack barks.

Laura Ingalls: Jack Hush, hush!
Mary Ingalls, Laura, where are you?
Laura Ingalls: Why you need to scream like that? Between you and Jack, I could never know.
Mary Ingalls: Know what?
Laura Ingalls: If the cancer can cut a stick once. She was afraid of your voice.
Mary Ingalls: You have no interest in it catches you, it is you or cut in two.
Laura Ingalls: No, you tell stories! She did not clamps big enough to cut me in two.
Mary Ingalls: It is not you time to know. Mom wants to talk to us right now, she has something important to say.
Laura Ingalls (Jack): And you, listen to me, if you bark again, next time I'll let you
at home. And j'blague not.

The two girls run off, and then come home. They enter.

Mary Ingalls: Here it is mom, she was near the creek. Oh, but what are you doing?
Caroline Ingalls: Your father wanted donuts.
Laura Ingalls: Oh, I love it!
Mary Ingalls: Me too!
Caroline Ingalls: I have a surprise for you: you go to a party!
Mary Ingalls: Really?
Laura Ingalls: Both?
Caroline Ingalls: Yes, I went shopping today, and Mrs. Oleson invites you tomorrow on the anniversary of Nellie.
Laura Ingalls: We are forced to go?
Caroline Ingalls: Laura!
Laura Ingalls: But you know how Nellie!
Caroline Ingalls: I know she was kind enough to invite you to his birthday. You might have preferred to be the only one she has not invited?
Laura Ingalls: Oh no, I prefer to invite. It's always that.
Caroline Ingalls: And do not forget especially when you will wish him a happy birthday ...
Mary Ingalls: But you can bring a gift. It has nothing to offer.
Laura Ingalls: I think I have something for her.
Mary Ingalls: No mom, I know what it is.
Caroline Ingalls: It is not necessary, you know, but you should give him a beautiful bouquet of these lovely wild flowers there in the woods.
Mary Ingalls: Oh, that's a good idea
Caroline Ingalls: So now to work! I want your shoes are well polished and bright as ...
Laura Ingalls: The surface of a lake!
Caroline Ingalls: As a smile Sunday ... (A Carrie, from the beginning, made the same donut.) Carrie, I think that's enough.

In the evening, the Ingalls were gathered at the table and eat corn.

Charles Ingalls: I would hang well yet another.
Caroline Ingalls: Laura?
Caroline spent a dish that Laura goes to his father.
Charles Ingalls: Um, thank you!
Laura Ingalls: Dad? Do you remember the crayfish that I showed you? Those living under a rock in the creek.
Charles Ingalls: Yes, I hope that you do not approach it too.
Laura Ingalls: Oh ... no dad!
Mary Ingalls, Laura, then you die ...
Laura Ingalls: I never approach too close and I'm always careful! I wondered if she had the strength of a stick cut in two
Charles Ingalls: It depends on its size.
Laura Ingalls: And if it was my finger? It could cut off my finger?
Charles Ingalls: No, she's too small pliers. But you pincerait so strong that you'd remember for a long time.
Caroline Ingalls: You have not talked to the reception.
Charles Ingalls: Who gives a receipt?
Mary Ingalls: Nellie Oleson, she invited us to her birthday tomorrow. It will be a great day!
Laura Ingalls: That I know.
Mary Ingalls: Is that their home is as pretty as always pretends Nellie? Full of beautiful carpets and furniture? And large curtains? From what they tell the school they have everything.
Charles Ingalls: There is something they will never have.
Laura Ingalls: What is it?
Charles Ingalls: The good little dessert Mom simmering ... (Carrie A) Say, you have an appetite of an ogre tonight you!

In the courtyard of Ingalls, is a tub of water where Laura made her toilet.

Charles Ingalls: So does it work? Soaping yourself well behind the ears, you probably have forgotten.
Laura Ingalls: Yes, okay.
He enters the house.
Caroline Ingalls: Where is she?
Charles Ingalls: Clean as a sub-nine!
Caroline fate.
Caroline Ingalls: I ironed your clothes and your dress Laura. Then? Watch where you are. Ears ...
Laura Ingalls: I just wash; dad reminded me.
Caroline Ingalls: Oh, very well ... yes ... come on! Can you stand, wait ... here, youps.
Laura Caroline out of the water and takes him home.
Charles Ingalls: Hurry up a bit or you'll be late.
Caroline Ingalls: Go, go ... fast!
Charles Ingalls: Honey, come here for a second look, will you?
Caroline Ingalls: Monte Laura, I'll be right back!
Caroline leaves to join her husband.
Charles Ingalls: A little surprise ...
Outside in the tub are Carrie, dressed and Jack, the latter asparagus.
Caroline Ingalls: Oh no!
Charles Ingalls: What are you complaining about? She washes the dog and her dress at the same time like that.

Meanwhile, in Nordstrom.

Jon Nordstrom: I've been thinking. I'd rather you stay with us.
Olga Nordstrom: I must go, I'm invited. Nellie said we eat cakes and sweets, and we are amused.
Nosdstrom Jon: I hope so ... but what do you play?
Olga Nordstrom: I do not know Pa.
Jon Nordstrom: A chase you? You can not play with them.
Olga Nordstrom: Maybe Pa, but if it is, I look at how, like every day at school. Is it going like that Pa?
Jon Nordstrom: Yes, you're beautiful.
Olga Nordstrom: Grandmother? (She nods) Goodbye Grandma, goodbye Pa!
Helga Nordstrom: Goodbye my darling!
The little girl goes.
Jon Nordstrom: Good day ... Olga You said she had to go to school, so I left to go to school.
Helga Nordstrom: She had to instruct.
Jon Nordstrom: You could teach her what she needed to know.
Helga Nordstrom: He had to see some friends of his age.
Nosdstrom Jon: You've already seen sitting in the courtyard of the school without talking to any girl? She has no friends at this school. It would be better to stay at home with us.
Helga Nordstrom: I have a son who is an idiot
Jon Nordstrom: And I have a mother who will not listen. On this anniversary, she will try to be like everyone else, she will run. And the risk of falling and it will be serious.
Helga Nordstrom: No, it will be wise, she promised not to run.
Nosdstrom Jon: I went to school, but it is by observing the men I learned the most??? and animals. I saw that the hens are those of them who have the misfortune of not being like the others, they kill them. this is disgusting, they all rushed on them, they kill them, to peck, it is their law.

Near the Oleson, Cassie and Christie exceed Laura and Mary.

Daughters: Mary Hello, hello Laura.
Laura Ingalls: Well, one minute.
Laura starts to run, but it was quickly overtaken by Mary, who beckoned him to walk.
Nels Oleson: Hello ladies.
Mary Ingalls: Hello Mr. Oleson.
Nels Oleson: Go, enter, enter! Ah, you're both so pretty that bouquet of flowers.
Mary Ingalls: Thank you, Mr. Oleson!
Nels Oleson: Go ahead and enter! Follow the others, it is there!
Mary Ingalls: Yes, thank you!

In the store.

Christie Kennedy: Come on, go ahead and enter.
The girls enter the room when the clock strikes, Nellie joined them.
Mary Ingalls (handing her the flowers): Oh, and Happy Birthday Nellie!
Laura Ingalls: This is our part in both!
Christie Kennedy (tending to a rag doll Nellie): And that comes from me and Cassie. I made it myself, but it still has no name.
Nellie Oleson: Come on play!
Christie Kennedy: She hardly looked!
Mary Ingalls: Oh, but that's nothing. It's all existed, do not worry. Come on, let's have fun with them.
Laura Ingalls (seeing a boat) Oh, but it is Noah's Ark!
Willie Oleson: No, it is not Noah, it's mine.
Laura Ingalls: I was talking to Noah in the Bible.
Willie Oleson (meaning animals) Y'en two of each kind. Two, except for giraffes because of Nellie's hidden male. She knows this is my favorite animal!
Nellie Oleson: I hid anything at all, it is not true!
Willie Oleson: If it is true!
Harriet Oleson: Ha, ha, ha, ha, Willie! Do not miss especially your sister.
Nellie Oleson: And who cares your arch anyway.
Harriet Oleson: It makes no sense for you to play the arch when you have so many toys for fun.
Nellie Oleson: They will not with my toys.
Willie Oleson: And touch it to my bicycle.
Harriet Oleson: Come see the children. Oh! Nellie, show them your birthday, huh, your beautiful doll!
Nellie Oleson: Okay, but I forbid you to touch. When she is on her back, she fell asleep and then when she is standing, she's awake. Her dress is a real silk and real with real lace petticoats.
Laura's hand moves towards the beautiful fabric. When it touches, Nellie retired strongly her doll, and lace tears. She pushes Laura.
Nellie Oleson: I said do not touch it! You've torn to annoy me.
Laura Ingalls: I promise I did not mean to.
Nellie Oleson: You're just jealous, you know you'll never have to so pretty and you want me to have one. I should not have invited you, that'll teach me!
Harriet Oleson: Oh, Nellie does not speak that way!
Laura Ingalls: I'm sorry ma'am, it is only an accident. My mother can arrange, she knows very well sewn.
Harriet Oleson: No, no, no, no, it will not be necessary. I know very well the repair. Oh, it's nothing, do not worry my little Nellie! (Laura A) You should try to be less harsh with matters that belong to others.
Laura Ingalls: Yes ma'am.
Harriet Oleson: I think it would be wiser for you rather go and play in the garden. Here, there are too many things you could damage it.
Willie Oleson: Oh, come quickly, come play ... we'll chat.
Children out.
Mary Ingalls (Laura A box): What have you got?
Laura Ingalls: It's nothing, it's okay.
Mary play with the other hand while Olga approached Laura.
Olga Nordstrom: You're twisted ankle?
Laura Ingalls: Yes when she pushed me earlier.
Olga Nordstrom: We'd better go downstairs, do not you think? Wait, maybe he should tell Mr. Oleson prevent Dr. Baker?
Laura Ingalls: No, it's not that bad ... You know ... I failed to ask you something, but I stopped. Mom says it's rude to be curious.
Olga Nordstrom: If this is an issue on my leg go!
Laura Ingalls: Well, yes, that's just it. There's long boxes you this way?
Olga Nordstrom: I was born like that.
Laura Ingalls: But maybe if you want to come with me, we could go walk softly and frogs in the pond. And then we could catch
Olga Nordstrom: Oh yes, you could try! Come on.


Olga is back home. His grandmother and his father in the backyard.
 
Helga Nordstrom: Olga! So how did it happen?
Olga Nordstrom: Very good grandmother. It was very successful. They have a big house with curtains and lots of pretty things. And a large clock high as Dad.
Helga Nordstrom: What were you fed?
Olga Nordstrom: Oh, y'avait a bit of everything: cakes, biscuits and sweets as lemon. I did as you told me, I was polite and I did not take anything.
Jon Nordstrom: And you amused? With all children?
Olga Nordstrom: Oh, yes dad. Nellie dolls of all kinds and his little brother lent me all his toys animal. And it was fun, it was fun! We had a good laugh.
Jon Nordstrom: Is there some who laughed at you because of your leg?
Olga Nordstrom: No Dad.
Jon Nordstrom: But you did not amused. You stayed in your corner to look to others, tell me the truth.
Olga Nordstrom: Inside, it's true, yes. But outside, I played with a girl.
Jon Nosdstrom: With a girl, just one.
Olga Nordstrom: A very nice girl, Daddy. Laura Ingalls. She twisted her ankle was mentioned both.
Jon Nordstrom: I told you to stay there. You should have stayed at home with grandma and me.
Olga Nordstrom: But I am very happy Dad! I am a friend!
Jon Nordstrom: One friend.


The evening at the Ingalls, Caroline Charles and his éssis table. Girls are lying.

Caroline Ingalls: Mary said it was all the fault of Nellie as that of Laura. And it seems that the dress can be sewn in two minutes.
Charles Ingalls: It will take longer for the Laura ankle is healed. She will miss school two or three days.
Caroline Ingalls: That he has made the effort to learn it, so I promised to buy him a little ribbon in Oleson.
Charles Ingalls: Laura often catches these injuries, but she recovers quickly.
Caroline Ingalls: You would agree that girls get their friends to turn?
Charles Ingalls: Strongly agree. Yes.
Caroline Ingalls: Well, then they ...

Noise surprises attention.

Charles Ingalls: There's mice in this house ... Go, show yourself a little up there.
Girls appear above the scale.
Caroline Ingalls: What are you doing here at this hour?
Mary Ingalls: We listened.
Laura Ingalls: So we can not invite friends to celebrate someone's birthday?
Charles Ingalls: This is the best reason to get people for no reason, just to have friends with you.
Mary Ingalls: And we have the right to invite whoever you want, and only that we want?
Caroline Ingalls: Yes, of course, is your receipt. Oh, I know who you want to invite Christie and Cassie, your new friend, Olga and Nellie.
Laura Ingalls: Nellie?
Caroline Ingalls: It's a courtesy that should be made.
Laura Ingalls: I guess you know better than us.
Mary Ingalls: On Monday, I'll ask them.
Caroline Ingalls: That's right. Go to sleep, and hurry!
Mary and Laura Ingalls: Good night Mom, Dad good night!
Caroline Ingalls: Hi!
Charles Ingalls: Goodnight my darlings.

In the room of Laura and Mary.

Mary Ingalls: I can not believe it. Our front desk at both, so I can not believe it. And we can invite anyone we want.
Laura Ingalls: Yes! You know what would be great? This is not to say that Nellie ...

On the way to school, Mary speaks with Olga.
 
Mary Ingalls: Will there who will Cassie and Christie and Sudie. And you too, I hope you'll come, Olga.
Olga Nordstrom: It will depend on my father.
Mary Ingalls: But you have to succeed to convince. Laura has a special interest that you come.
Olga Nordstrom: I went to Nellie the other day.
Mary Ingalls: Oh, I forgot! Nellie will too.
Olga Nordstrom: That's good.
Mary Ingalls: Oh, this is not what Laura said. She is afraid that Nellie bothers other
Olga Nordstrom: No, I mean it is kind of inviting. And anyway, it will do him good, poor Nellie.
Mary Ingalls: Poor, the Oleson? It is the richest city!
Olga Nordstrom: Nellie is poor, it has no inner joy of living.
Mary Ingalls: Hey, this is curious what you just said.
Olga Nordstrom: My grandmother always said that bed inside a person just by seeing his face.
Mary Ingalls: Oh, yeah? You think? I had never thought of Nellie this way before that. We can call it poor. It makes me feel sorry for her, finally ... almost.

Evening, Mary came running home.

Mary Ingalls: Hi Dad!
Charles Ingalls: Hi Mary.
Mary Ingalls: Everyone said yes!
Laura Ingalls: You heard Dad? Everyone said yes!
Charles Ingalls: Yeah, I heard. But what matter?
Laura Ingalls: At our invitation! Mary invited them to our party!
Charles Ingalls: Ah, it's true! There's a party here, I had completely forgotten.
Laura Ingalls: You kidding me yet ... Why is that Pattie dropped chains you put it.
Charles Ingalls: She rejects. I've already said that his right front leg was shorter. So I must ask her iron thicker. And so it will not be the right length, it will not accept it.
Laura Ingalls: I have another question for you.
Charles Ingalls: I'm listening, go ahead.
Laura Ingalls: It'll be quite some time I wanted to ask you and now that you mention Pattie ... What can limp?
Charles Ingalls: An accident, more often.
Laura Ingalls: No, that's not what I meant, I think people are born that way and Olga, she always limped and said it is born.
 

Charles Ingalls: It seems unfair to you?
Laura Ingalls: Oh, yes then! This is very unfair.
Charles Ingalls: This is a problem that is beyond us. I can not find an answer for any of us. Some people are born like that, and I do not know why and I do not think anyone knows. But I know that many of these people seem to ... seem to have something more than a normal person.
Laura Ingalls: They are more intuitive?
Charles Ingalls: Very often yes.
Laura Ingalls: I noticed that Olga was great.
Charles Ingalls: And from what you say about her, she has a good heart especially.
Laura Ingalls: And the heart is much more important than in the rest of life.
Charles Ingalls: Much more important. You think very often Olga now
Laura Ingalls: It is so nice, Dad. It is such a shame that it has a shorter leg ... I remember the Thursday, we returned and walked near the mill, she stepped on a board and it made it like the others.
Charles Ingalls: She did what?
Laura Ingalls: There was a plank like that. Because of that, his leg was the right length.
Charles Ingalls: She made it across the board?
Laura Ingalls: Of course! And walking over with his short leg all this time, she was like any other. Though there were plenty of boards everywhere, she would be able to move like the other girls.
Charles Ingalls: That's right, you're right ... Go home and cares for your ankle!
Laura Ingalls: Yes Pa!

Mr. Nordstrom while working in his garden, Olga and her grandmother out of the house, when Charles arrived.

Charles Ingalls: Hello Olga.
Olga Nordstrom: Oh, Mr. Ingalls, Grandmother.
Charles Ingalls: Ms. Nordstrom. I'm Charles Ingalls, we're almost neighbors.
Helga Nordstrom: Mr. Ingalls, Olga told us so much of your Laura
Charles Ingalls: My wife is eager to know you and your son, and she wants to see Olga. I think your son is at work, Mrs, however, I would talk to him if you let it.
Helga Nordstrom: Yes, of course, yes. (Olga A) Will you get it, please? (Charles A) If you want to follow me ... Jon, here Mr. Ingalls. It has something to tell you.
Charles Ingalls: Mr. Nordstrom, ma ... my daughter Laura became very friendly with your little Olga is Olga and I just talk to you. It will seem very strange, but we have a beautiful horse with us. And unless we put him iron the right thickness, it begins to limp down. It needs an iron thicker than others to work well and it gave me an idea for Olga. I would like to ask permission to work on one of his shoes.
Jon Nordstrom: You have a miracle in your pocket?
Charles Ingalls: No, no. I told you it was strange, but I think with a shoe ...
Jon Nordstrom: Olga was born with one leg shorter than the other. We accept this misfortune too.
Charles Ingalls: There is a saying in this country that says "Help yourself, heaven help you."
Nordstrom Jon: I'm old enough to take care of Olga. I do not need anyone.
Charles Ingalls: Mr. Nordstrom, your daughter is still away never fun. She seems to have a good heart, which is fortunate for her. I would like to arrange, with your permission, a shoe belonging to it and then it can also be fun.
Jon Nordstrom: I did not ask. What are you doing here? Then you will leave my property.
Charles Ingalls: I do not see what harm there is to offer a chance to Olga.
Jon Nordstrom: Goodbye.
Charles Ingalls (on and off): soon I hope Mrs. Nordstrom.

Caroline and Charles are now sawing wood near the creek.

Caroline Ingalls: You think you succeed to make a special shoe for Olga?
Charles Ingalls: Oh, I know. It could not be worse anyway. Why he does not? It only remains for me to forget about it ... (Seeing the two visitors who come.) Mrs. Nordstrom. (They arrive at their height.) Mrs. Nordstrom, I present to you my wife Caroline.
Helga Nordstrom: Hello Madam.
Caroline Ingalls: Enchanted Lady.
Charles Ingalls: Ms. Olga Nordstrom and small
Olga Nordstrom: Hello.
Caroline Ingalls: Hello Olga.
Helga Nordstrom: I may bother you. Do you have time to listen to me?
Charles Ingalls: Of course, yes.
Caroline Ingalls: Olga? You come with me to our house. You will see Laura.
Olga Nordstrom: Oh, yes ma'am.
Helga Nordstrom: Mr. Ingalls, my son is far from what you believe. He loves our little Olga, he was always afraid for her because of her disability. And it is further compounded by the death of his wife. He just wants to protect Olga. And he would not even let her go to school.
Charles Ingalls: Your son is someone who does not like to be helped, Mrs. Nordstrom, but I think I begin to understand.
Helga Nordstrom: And he would like to build a wall around Olga, and keep away from everything. But he made a serious mistake because it will not person after ... once we get to heaven.
Charles Ingalls: He knows you're here?
Helga Nordstrom: No, I'll tell him later.
Charles opens a package that handed him Mrs. Nordstrom. He pulls out a shoe.
Helga Nordstrom: you arrange for a shoe Olga?
Charles Ingalls: I'll try.

The next scene takes place inside the farm. Charles tries sticks underfoot Olga for proper height.

Charles Ingalls: it is enough for you?
Olga Nordstrom: Maybe a little more.
Charles Ingalls: Okay ... Like this?
Olga Nordstrom: Yes, that's better!
Charles Ingalls: Are you sure ... (Nod Olga) This is the right height, it only remains to assemble.

On the picture below you can see Charles in the barn, working shoes.

Mrs. Nordstrom is sitting in the garden and braid the hair of his granddaughter. His son is approaching.

Jon Nordstrom: There's no school today, you'll help a little grandma.
Olga Nordstrom: I was even invited Pa.
Helga Nordstrom: She was invited to a small party at the Ingalls. Invited her new friend Olga.
Jon Nordstrom: It is not yet noon.
Olga Nordstrom: Yes ...
Helga Nordstrom: Yes, his friend asked him to go early and help prepare the feast. So, go ahead sweetie!
Olga Nordstrom: Goodbye Grandma, goodbye Pa.

In Ingalls, Charles tries the shoe Olga.

Charles Ingalls: Try to walk now. Go ahead, try it.
Laura Ingalls: Look, this is wonderful! You stand straight.
Charles Ingalls: Try to move a little faster.
Olga advance a little faster then falls into the arms of Charles tears of joy.
Laura Ingalls: Come get used to walking! Expect others to be there! They will not want to believe. It's a miracle, yes then it is a miracle.

In the courtyard, Laura sees her friends arrive. She goes into the house all excited.

Laura Ingalls: They are coming! They are all there.
Caroline Ingalls: They are just in time.
Charles Ingalls: Okay, well, I think I'll leave you with your guests.
Caroline Ingalls: Grand coward!
Charles Ingalls: Ah, yes I scroll, it, hehe! Come Mary, come and welcome them!
Laura Ingalls (Olga): When they arrive, you stay where you are sitting. I have an idea to make them a terrible surprise.
Olga Nordstrom: Yes.

Charles is out with his eldest daughter to welcome their guests.

Charles Ingalls: Hello girls.
Christie Kennedy: Where is Laura?
Nellie approached Charles and curtsies.
Charles Ingalls: Nellie. It is inside. Go enter!
Mary Ingalls: Come!
Charles Ingalls: And have fun.
They enter.
Rose-Marie: Hello Laura.
Nellie Oleson (bowing): Hello Mrs. Ingalls!
All: Hello Mrs. Ingalls!
Laura Ingalls: I told you it was not dressed Nellie.
Nellie Oleson: It's mom forces me to get dressed, even to go to the countryside. Where is your room?
Laura Ingalls: Mary and I were sleeping upstairs.
Mary Ingalls: You want to see? Come!
Nellie Oleson: You do not have a room each?
Mary Ingalls: Everyone is not like you.
Nellie Oleson: It's like if you were in an attic.
Christie Kennedy: I'd like to sleep in an attic.
Mary Ingalls: You asked your mother?
Christie Kennedy: It's not worth it. There's no attic at home.
Once all the girls going up, Laura Olga approach.
Laura Ingalls: Olga, you'll wait until everyone is up there and then you get out. You remember the place I showed you?
Olga Nordstrom: Yes.
Laura Ingalls: You go there you sit, and you wait for two minutes that you join. So I try to make you play with others, and when your turn comes, you will do as if nothing was. They will have a big surprise.
Olga Nordstrom: Yes.

Then Laura joined the others up there.

Cassie (capturing the scent of lemon balm): Meaning, as it smells good.
Rose-Marie: I do not know that.
Nellie Oleson: Where are your dolls Laura?
Laura Ingalls: Dolls, I hate, I prefer the creek.
Christie Kennedy: I know where it is! We passed close by coming here.
Nellie Oleson: You sleep in the same bed with you and Mary?
Laura Ingalls: Yes.
Mary Ingalls: Oh, that's funny.
Nellie Oleson: I have a bed just for me and a room just for me.
Mary Ingalls: Yes, we know.
Laura Ingalls: It's silly to stay locked when it is sunny. If we went out instead?
Mary Ingalls: Oh yes! Come Nellie and you too, come on.

The girls are in the farmyard.
Mary Ingalls: What are we playing?
Laura Ingalls: Why not baseball?
All the girls: Yes!
Nellie Oleson: It's a game boy ...
All the girls: But no .... it does not matter .... go!
Nellie Oleson: Well, it is played.
Laura Ingalls: We'll take the seals to base. Come on there soon! Come! I choose a team, and Nellie chooses another.
Nellie Oleson: Since I'm invited, it is for me to start. I chose Mary.
Laura Ingalls: So, I chose Olga.
Nellie Oleson: You have chosen to have an excuse if you lose.
Laura Ingalls: Oh no! I intend to win.
Nellie Oleson: I choose Cassie.
Laura Ingalls: I'm Christie.
Nellie Oleson: Rose-Marie.
Laura Ingalls: Hélène. So there are four on each side. It is you who chose the first, then begins. The mixer will be held there.
Mary Ingalls: Come on.
Laura Ingalls: It is here that we return the ball. As we are only four on each side, it will often turn. Olga, for you to start.
Rose-Marie: Go, go, and Mary is well!
Christie Kennedy: Go, go Olga! You will succeed, apply yourself.

Olga encourage all girls except when Nellie starts to run after hitting the ball.

Christie Kennedy: You beat Nellie. What happened?
Olga Nordstrom: This is Mr. Ingalls. (Showing his shoe) He did it for me
Cassie: It's great Olga. I had never seen it. You run faster than us now.
Olga Nordstrom: Laura And you wanted to surprise you all.
Christie Kennedy: In a surprise, it is successful.
Rose-Marie: Look! it surprises, right?
Cassie: It was especially surprised Nellie.
Nellie Oleson: So you will continue to play or you will stay to chat like that?
Girls do not listen and continue to speak.
Olga Nordstrom: And it is solid. Look a bit like that is.
Nellie Oleson: So soon come!
Laura Ingalls: Yes! Come on, We must finish the game. Christie, for you to return.

The game continues for a long time, which is finally repotted by the team of Laura and Olga.

Rose-Marie: Well, what is it we could play now?
Christie Kennedy: Why not hopscotch?
Mary Ingalls: Oh no, it's not funny.
Rose-Marie: We could do the race.
Christie Kennedy: And even over!
Olga Nordstrom: Oh yes.
Laura Ingalls: We just make it a team game. Could play tag.
Nellie Oleson: No, at this time. Oh! I know. Take off our shoes and wade in the creek will.
Laura Ingalls: Me, I do not say anything.
Nellie Oleson: It will be fun.
Laura Ingalls: No, it is not fun.
Nellie Oleson: You said you liked it earlier, and that you were going to have fun every day.
Christie Kennedy: The last arrival was lost. Go!
All leave, except Laura and Olga.
Laura Ingalls: I'll stay here with you Olga.
Olga Nordstrom: No, it's not worth it. Go with them and bathe yourself, I'll wait.
Laura Ingalls: But I go every day there. And I have no desire today.
Olga Nordstrom: No, go join the others. I stay alone; I do not care. And then, I will train to walk.

While Laura leaves to join her friends, Olga likes to run in the yard.
The waterfront are all crammed boots girls who splashed some, other bucks.

Nellie Oleson: Attention to my hair. No! No! Stop!

Laura took off his shoes in turn, and will all join before walking away in a corner, where the famous crayfish.

Laura Ingalls: You know, I do not care that you wade in the creek Nellie. As you do not approach this corner there.
Nellie Oleson: Why should I go if I want to?
Laura Ingalls: Because all sitting there, it's one of my secrets. But since you're a good girl, you have the right to see what there is. Come here and look there. No, you're too far ahead, you go ahead yourself. Then? You see something or you're too far? (Crayfish out suddenly between two rocks.) Caution Nellie! Attention, she runs after you! Going by quickly and there. Hurry, hurry, it'll catch up!
Seeing crayfish, Nellie short and falls into the water, it comes out with an alga on the head. All the girls laugh.
Laura Ingalls: Come, let's go try now!

Meanwhile, in Nordstrom, Jon delves into all his furniture.

Jon Nordstrom: I knew it was not normal.
Helga Nordstrom: You must really take you this way?
Jon Nordstrom: When you act against me, yes. Olga has two pairs of shoes, she wears a pair. What did you do with the other? I'm sure you've made to Ingalls.
Helga Nordstrom: Yes! Yes, that's right.

Immediately, Mr. Nordstrom leaves home and goes to the barn Ingalls, where Charles works.

Jon Nordstrom: Ingalls, I told you not you interfere.
Charles Ingalls: Yeah, I know very well.
Jon rushes Charles succeeds, somehow, to immobilize him tête.Monsieur Nordstrom then sees his daughter all run and play with other children. The latter sees his father and runs into his arms.
Olga Nordstrom: You saw me run Daddy?
Jon Nordstrom: Oh, yes. I saw you run.
Olga Nordstrom: And you know, I really enjoy, and with all the girls!

Then it returns to play with the girls.

Later, all the girls, Mr. Nordstrom and the Ingalls family gathered in the courtyard.

Christie Kennedy: And it was very successful madam. And thank you very much.
Caroline Ingalls: Thank you Christie. You know you can come whenever you want.
Charles Ingalls: Well, do you want me back or not?
Cassie: No thank you, you can still walk.
Nellie Oleson: Oh, but I would like to say a word. This pool of water is dangerous Mr. Ingalls. There is a big beast like that. She would cut a finger very easily. (She curtsies.) Thank you.
Caroline Ingalls: Goodbye Nellie.
Carrie Ingalls: Goodbye Nellie.
Charles Ingalls: I wonder who gave Nellie the idea that she could have a cut finger ...
Laura Ingalls: You do not think I should go a little escort our guests?
Charles Ingalls: It is a good idea that. And welcome back!
Christie Kennedy: Goodbye!
Cassie: Goodbye and thank you again.
Olga Nordstrom: Do I go with them Dad? I have the right?
Then, after a nod of her father, she joined the other.
Jon Nordstrom: My mother was right when she said that her son is an idiot.
Charles Ingalls: No, I think not.

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choup37, 19.04.2024 à 19:45

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